En côtoyant certains endroits, l’homme est souvent confronté aux piqûres de parasites et d’insectes. Ces bestioles attaquent l’être humain pour se défendre et pour se nourrir. Ils sont nombreux, mais les plus fréquents sont les taons, les aoûtats, les moustiques, les guêpes, les abeilles, les tiques, les puces, les acariens, et les poux. Dans la majorité des cas, leur piqûre se manifeste par des démangeaisons qui apparaissent suite au grattage. En présence de virus, de champignons, et de bactéries, ces démangeaisons peuvent s’infecter. Dans certaines postures, la manifestation de ces piqûres se traduit par des faibles douleurs qui sont inoffensives si l’individu n’est pas anaphylactique. Contrairement à cela, si le sujet est sensible ou a eu des effets face à ce genre de morsure, il est plausible que des complications affluent. A ce moment-là, il est préférable de prendre urgemment les dispositions nécessaires.
D’une manière générale, les premières actions à effectuer lorsqu’on vient d’être piqué par un insecte seraient de laver la partie mordue avec de l’eau et du savon neutre. Il faut bien rincer pour enlever tout excédent et trace de savon. Essuyez doucement pour que cette zone se sèche. Appliquer doucement un produit ou une solution antiseptique pour la peau. Terminer par enduire légèrement une crème spéciale contre les démangeaisons. Il arrive que la bestiole ait laissé son dard dans la chaire. Il faut l’ôter délicatement avec une pince à épiler pour que ce dernier ne s’enfonce pas encore plus. Puis poursuivre avec une désinfection avec de l’alcool à 70°. Si telle est la façon généralisée de les prendre en main, des petites nuances se rencontrent selon le genre d’hexapode qui a mordu l’individu. Lire la suite …
Après la varicelle, ce qu’il faut faire pour éviter le zona
Beaucoup de personnes croient que le zona est une maladie de la peau. C’est une dermatose virale causant une infection souvent sur le visage ou le thorax par le biais du virus Herpes zoster. Totalement non contagieux, il se manifeste par des éruptions cutanées douloureuses localisées sur un ganglion nerveux ou le long d’un nerf. Le virus varicelle zona, responsable de la varicelle cause cette maladie virale est « réactivé » provoquant des douleurs (douleur névralgie ou douleur postzostérienne) qui peut durer des mois ou des années après la guérison de l’éruption. On recense 9 personnes sur 10 qui ont déjà eu la varicelle et sont donc porteurs du virus varicelle zona. Le zona se caractérise par des douleurs, décrites comme des sensations de brûlures, de piqûres d’orties ou d’élancements. Semblables aux lésions de la varicelle, celles du zona se manifestent par poussées successives par des vésicules, microvésicules et pustules accompagnées par des croûtes. Les zones du corps qui en sont affectées sont la région cervicale, les territoires abdominolombaires et pelviens, mais aussi les racines nerveuses. Il se peut que les douleurs provoquées par l’infection persistent même après que les lésions cutanées soient guéries (assimilées à des douleurs sciatiques). Le sujet atteint peut ressentir des décharges électriques. Il se peut même qu’il ne supporte pas la chaleur, le froid, le souffle du vent ou le frottement d’un vêtement sur la peau. Certains cas particuliers peuvent également survenir : problèmes oculaires, méningites non bactériennes, paralysie du visage. Lire la suite …
Les verrues ou ces maladies « vulgaires » !
Un chiffre alarmant de six millions de français qui souffrent de verrues nous amène à prendre des précautions pour le bien-être de notre peau. Les verrues sont localisées sur la main et les pieds, le genou, le coude, le visage, mais aussi les organes génitaux. Cette maladie de la peau est très fréquente chez les enfants et les jeunes adultes. Elles se caractérisent par une petite excroissance de la peau et sont de consistance molle, recouverte d’une couche cornée lui conférant sa rugosité. Les verrues ont une durée de vie entre des mois à deux ans et disparaitre sans raison apparente. Elles ont une origine virale et sont causées par un virus le papillomavirus humain de la famille des papillomas. Généralement considérées comme des tumeurs cutanées bénignes, les verrues peuvent être dangereuses en fonction des complications même si elles nécessitent que des soins locaux.
La vaginite, une maladie à prendre au sérieux
Une des maladies douloureuses et très gênantes chez la gent féminine est la vaginite. D’origine infectieuse, elle se manifeste par l’inflammation du vagin, de la vulve ou des deux. Elle est également assimilée à un écoulement vaginal anormal non attribuable à une cervicite. Dans la plupart des cas, la vaginite se traduit par une irritation et des démangeaisons et souvent des sensations de douleur au vagin ou à la vulve. Ce genre d’infection touche un taux alarmant de 75% chez les femmes, qui peuvent en être affectées au moins une fois dans leur vie. C’est même devenu une des raisons principales de consultation médicale chez les femmes. Pour celles atteintes de diabète non maîtrisé, l’exposition à une vaginite à levures est fréquente. Il y a également les femmes enceintes qui peuvent souffrir de vaginites à levures, de vaginose bactérienne en raison d’une forte augmentation du taux d’œstrogène, du pH ou encore du taux de glycogène ou du sucre sanguin.
La bronchite est une irritation qui se situe au niveau des voies respiratoires et des muqueuses pulmonaires. Elle se manifeste par une infection douloureuse quand l’individu tousse. Elle s’accompagne d’une production de muqueuses, de toux et d’expectoration. On désigne par expectoration les substances libérées par les poumons lorsque l’individu tousse intensément. De manière très simple, la bronchite est désignée comme une irritation de la bronche qui apparaisse sous forme de toux. La maladie touche donc les poumons
Il existe deux types de bronchites : la bronchite aigüe et la bronchite chronique. Concernant la bronchite aigüe, elle se manifeste de façon subite et ne dure que quelques jours. Pour la bronchite chronique, elle se manifeste sur une longue période, s’étend sur quelques mois ou même des années. Lire la suite …
La bronchiolite est une inflammation des petites bronches ou bronchioles qui permettent la circulation de l’air dans les poumons. La bronchiolite est une infection virale respiratoire qui affecte les bronches du jeune enfant et du nourrisson. Cette pathologie se transmet sur un mode épidémique saisonnier. Les symptômes respiratoires sont généralement inquiétants, mais cette pathologie est souvent bénigne. Cependant, des complications sont possibles et certains signes doivent faire appel à la consultation d’un médecin rapidement. En effet, la bronchiolite est une maladie assez fréquente chez les enfants de moins de 2 ans. La pathologie apparait 3 ou 4 jours suivant les symptômes d’une grippe ou d’un rhume. La maladie dure 7 à 12 jours et peut affecter un enfant plusieurs fois dans la même saison.
Dans le cas de la bronchiolite, le virus respiratoire syncytial en est souvent l’origine. La pathologie se transmet de façon directe comme à partir d’une toux ou de sécrétions ou de manière indirecte à partir d’objets contaminés tels que les différents ustensiles, verres, biberons, suces et autres. Malgré qu’il s’agisse d’une maladie bénigne, la bronchiolite provoque bien des complications, tel est le cas des enfants prématurés, des enfants qui ont un système immunitaire affaiblie par la maladie ou par des prises de médicaments ou encore des enfants qui souffrent de troubles neurologiques, pulmonaires ou cardiaques. Lire la suite …
L’arthrite est un trouble inflammatoire des articulations. Il s’agit d’une maladie articulaire qui touche principalement les femmes proches de la cinquantaine. Ce trouble inflammatoire peut être chronique lorsqu’il résiste jusqu’à plus de 3 mois, il peut aussi être aigu lorsque la pathologie ne dure que quelques jours ou quelques semaines. L’arthrose est la forme la plus courante de ce type de pathologie. L’arthrose se caractérise par la dégradation des articulations à travers la destruction du cartilage. Elle attaque principalement les articulations supportant une grande partie du poids du corps. Les genoux, les hanches, la colonne vertébrale et les pieds sont les plus concernés. La pathologie est de type dégénératif et la douleur est majorée par la mobilité et les mouvements des articulations concernées.
On a plusieurs types d’arthrites. Les médecins parlent de monoarthrite lorsqu’une seule articulation est atteinte. Parmi les monoarthrites, on peut citer la goutte ou l’arthrite goutteuse et la chondrocalcinose. Par ailleurs, c’est le cas d’une polyarthrite quand la douleur affecte plusieurs articulations. La plus courante pour cette forme est la polyarthrite rhumatoïde. Les arthrites peuvent aussi être catégorisées en fonction de leur cause. Une arthrite inflammatoire est par exemple d’origine auto-immune et une arthrite infectieuse est un type d’inflammation articulaire provoqué par des bactéries, des virus, des champignons ou encore par un micro-organisme. D’autres types tels que l’arthrite septique provoquée par la présence de germes ou encore l’arthrite réactionnelle existent également. La bonne nouvelle est que toute une liste de remèdes homéopathiques est disponible pour lutter contre les douleurs associées à l’arthrite. Lire la suite …
L’homéopathie ou la médecine homéopathique est une forme de médicine non-conventionnelle dite holistique, aussi désignée comme médecine alternative, parallèle ou complémentaire. Le mot ‘homéopathie’ ou homœopathie vient du grec ‘hómoios’ et ‘páthos’ qui signifient ‘semblable’ et ‘souffrance’ ou ‘maladie’ respectivement.
Sa principe de base est le dicton latin « similia similibus curantur », c’est-à-dire, « qui se ressemble se guérit ». Dans le contexte de l’homéopathie, cet aphorisme implique qu’une substance qui est prise à grand dosage reproduit les symptômes d’une maladie et peut devenir une cure pour ces mêmes symptômes quand elle est prise en petites quantités. L’étymologie du terme indique donc le modus operandi du traitement : cure par le biais du principe des semblables.
Ce système de traitement a été inventé par un physicien allemand nommé Samuel Hahnemann vers la fin du 18ème siècle. Ayant lu que la quinine, qui contient une mesure de quinquina, soigne la malaria, il but une dose de quinquina. Il commença dès lors à ressentir les manifestations de la malaria : il se trouva fiévreux, agité, la somnolence le gagna ainsi qu’une soif extrême. Mettant en œuvre multiples expérimentations, il forma sa première théorie : la Loi de la Similitude qui devint le fondement de l’homéopathie.
Il publia cette découverte en 1796 dans un article contenant ces notions particulières et ce ne fut qu’en 1805 qu’il écrivit son premier ouvrage sur cette matière. Cette dernière publication fut suivie par son œuvre « Organon médical » cinq ans plus tard. En 1811, il publia « Materia Medica pur » et en 1828 son dernier ouvrage « Traité sur les maladies chroniques » fit son apparition.
Tout en étant le fondateur de cette science, Samuel Hahnemann demeure le seul prescripteur de l’homéopathie dont les découvertes sont reconnus et répliqués à ce jour par ceux qui pratiquent cette branche de médecine.
L’homéopathie comprend deux critères principaux: la similitude et l’individualisation. En sus de ces critères, cette pratique repose aussi et surtout sur la croyance du malade en ce traitement.
La similitude décrète qu’un patient devrait être traité au moyen d’une substance (qui peut être végétale, animale ou minérale) produisant expérimentalement chez une personne en bonne santé des symptômes analogues à ceux découverts sur la personne affectée. Elle consiste donc en une réplication artificielle des signes de la maladie.
L’homéopathie comprend aussi un autre principe sans lequel le traitement ne peut être décrit comme homéopathique : l’individualisation. Ce processus implique une analyse intégrale des symptômes décelés chez l’individu et non uniquement ceux liés à la maladie en général. Ainsi la substance similaire utilisée pour le traitement est entièrement et uniquement adaptée au patient. Le système interne de guérison de l’individu est de ce fait stimulé afin de déclencher la force vitale du patient aidant ainsi son corps à rejeter la maladie.
Au fil du temps, l’homéopathie est considérée comme un traitement à base de doses minimes tandis que la signification originelle du terme est « traiter selon le principe de similitude », la substance choisie pour traiter la personne souffrante lui étant adaptée.