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Anorexie

L’anorexie est un trouble mental se manifestant par le refus de se nourrir. C’est un symptôme correspondant à un manque d’appétit.  Les personnes atteintes se privent de nourriture et refusent catégoriquement de manger, même si elles ont faim.  Cette une maladie qui fait partie des troubles du comportement alimentaire. Elle est particulièrement féminine et touche 10% de la population mondiale. Auparavant, ce symptôme frappait principalement les jeunes adolescentes, mais il commence aussi se manifester chez les petites filles de dix, de neuf et même de huit ans.  Le culte de la minceur ou l’obsession de posséder une silhouette de rêve est la cause principale d’anorexie. En négligeant les traitements appropriés, cette maladie peut conduire à une malnutrition.  En raison des chutes en potassium,  un arrêt cardiorespiratoire brusque,  10 %, des anorexiques trouvent la mort. Un tiers des personnes atteintes retrouvent la santé et un tiers  évoluent en maladie chronique. On discerne deux types d’anorexie, l’anorexie par restriction à laquelle la personne concernée se prive d’aliments et l’anorexie purgative à laquelle elle vomit et répudie avec violence tout ce qu’elle consomme.

Les causes suscitant un cas d’anorexie
Les causes de l’anorexie sont dans la plupart des cas personnelles. Les sujets à risque, ceux susceptibles d’être atteints sont les filles préadolescentes de 8 à 11 ans, les adolescentes de 12 à 17 ans et les jeunes femmes en début de la vingtaine. Pendant cette période, un bon nombre de changements corporels se révèlent.  Certaines ont du mal à accepter toutes ces modifications principalement la prise de poids et les difficultés qui s’en suivent.  À l’heure actuelle, les causes principales d’anorexie sont d’ordres biologiques, psychologiques et sociaux.

L’apparence physique est dans notre actuelle société très importante. Une silhouette fine est synonyme de succès, de satisfaction, de bonheur et de contentement. Être maigre est un signe incontournable d’esthétique et de beauté. La  « grosse »  n’a pas sa place et est continuellement traquée par son entourage et est souvent pointée de doigts. Pour fuir à cette image d’icône de paresse, fainéantise et de négligence, ces jeunes filles sont prêtes à tout faire pour perdre de poids.  Pourtant, les conséquences de ces efforts sont parfois rudes, ils conduisent souvent à des cas d’anorexie. Cette maladie peut également générée par des chocs psychologiques divers. Perte d’un être proche, des vécus malheureux pendant l’enfance et l’adolescence, rupture parentale, agression ou encore des mauvais traitements physiques ou moraux peuvent en être la cause.

Les symptômes de l’anorexie

Les symptômes de cette maladie sont facilement identifiables. Le sujet atteint a tendance à être fragile physiquement qu’émotionnellement. Le sujet recensera toute une liste de prétexte pour ne pas manger. Il adopte ses propres rituels tels que la consommation d’un régime végétarien ou encore le refus de manger avec la famille. Il sélectionne ses aliments avec soins et ne consomme que les cuisines à faible teneur calorique.  La peur permanente de devenir gros obsède leur esprit. L’aménorrhée ou l’absence de menstruation est également un des symptômes principaux de l’anorexie. Heureusement que ces différents symptômes réagissent positivement avec les remèdes homéopathiques.

Homéopathie

L’homéopathie – Étymologie

L’homéopathie ou la médecine homéopathique est une forme de médicine non-conventionnelle dite holistique, aussi désignée comme médecine alternative, parallèle ou complémentaire.  Le mot ‘homéopathie’ ou homœopathie vient du grec ‘hómoios’ et ‘páthos’ qui signifient ‘semblable’ et ‘souffrance’ ou ‘maladie’ respectivement.

Sa principe de base est le dicton latin « similia similibus curantur », c’est-à-dire, « qui se ressemble se guérit ».  Dans le contexte de l’homéopathie, cet aphorisme implique qu’une substance qui est prise à grand dosage reproduit les symptômes d’une maladie et peut devenir une cure pour ces mêmes symptômes quand elle est prise en petites quantités.  L’étymologie du terme indique donc le modus operandi du traitement : cure par le biais du principe des semblables.

L’homéopathie – Origine

Ce système de traitement a été inventé par un physicien allemand nommé Samuel Hahnemann vers la fin du 18ème siècle.  Ayant lu que la quinine, qui contient une mesure de quinquina, soigne la malaria, il but une dose de quinquina.  Il commença dès lors à ressentir les manifestations de la malaria : il se trouva fiévreux, agité, la somnolence le gagna ainsi qu’une soif extrême.  Mettant en œuvre multiples expérimentations, il forma sa première théorie : la Loi de la Similitude qui devint le fondement de l’homéopathie.

Il publia cette découverte en 1796 dans un article contenant ces notions particulières et ce ne fut qu’en 1805 qu’il écrivit son premier ouvrage sur cette matière.  Cette dernière publication fut suivie par son œuvre « Organon médical » cinq ans plus tard.  En 1811, il publia « Materia Medica pur » et en 1828 son dernier ouvrage « Traité sur les maladies chroniques » fit son apparition.

Tout en étant le fondateur de cette science, Samuel Hahnemann demeure le seul prescripteur de l’homéopathie dont les découvertes sont reconnus et répliqués à ce jour par ceux qui pratiquent cette branche de médecine.

L’homéopathie – Critères

L’homéopathie comprend deux critères principaux: la similitude et l’individualisation.  En sus de ces critères, cette pratique repose aussi et surtout sur la croyance du malade en ce traitement.

La similitude décrète qu’un patient devrait être traité au moyen d’une substance (qui peut être végétale, animale ou minérale) produisant expérimentalement chez une personne en bonne santé des symptômes analogues à ceux découverts sur la personne affectée.  Elle consiste donc en une réplication artificielle des signes de la maladie.

L’homéopathie comprend aussi un autre principe sans lequel le traitement ne peut être décrit comme homéopathique : l’individualisation.  Ce processus implique une analyse intégrale des symptômes décelés chez l’individu et non uniquement ceux liés à la maladie en général. Ainsi la substance similaire utilisée pour le traitement est entièrement et uniquement adaptée au patient.  Le système interne de guérison de l’individu est de ce fait stimulé afin de déclencher la force vitale du patient aidant ainsi son corps à rejeter la maladie.

Au fil du temps, l’homéopathie est considérée comme un traitement à base de doses minimes tandis que la signification originelle du terme est « traiter selon le principe de similitude », la substance choisie pour traiter la personne souffrante lui étant adaptée.

 

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