La dysidrose est une forme d’eczéma communément connu sous le nom d’eczéma bulleux. La dysidrose est présente principalement sur les faces palmaires et/ou plantaires. La dysidrose est une pathologie chronique qui se développe par des poussées de formation bulleuse. Les facteurs déclencheurs de poussées sont malencontreusement encore mal définis. Les causes de la dysidrose les plus connues sont la mauvaise hygiène de vie, les mycoses, le stress, la sudation importante et tant d’autres encore. Ainsi, la maladie détient la faculté de régresser spontanément et de disparaitre pendant une très longue période. Il peut tout de même revenir de façon ponctuelle ou complète. Une exhibition supplémentaire à la cause ou le port de gants aggrave les poussées et accroît la sensibilité. Ensuite, son évolution est lente, voire plusieurs mois. Ainsi, les soins doivent diminuer afin d’obtenir une absolution.
Les symptômes de la dyshidrose
Une dysidrose présente de petites boursoufflures accompagnées de très petites vésicules qui apparaissent sur les côtés et les bouts des doigts, des pieds, des paumes, des semelles et des mains, des vésicules opaques qui sont installées de manière profonde et qu’elles sont légèrement élevées et ne cassent pas facilement ou elles effleurent la peau. Ainsi, les boursoufflures se ressemblent en forment de plus grandes. Également, des vésicules qui peuvent être douloureuses, symptomatiques ou dérangeantes. Elles s’aggravent après contact avec de l’eau, du savon ou des substances irritantes. Le grattage des vésicules les casse et permet le relâchement d’un liquide qui s’y trouve et forme une croûte sur la peau et qui craque par la suite. Le craquement est désagréable et prend jusqu’à un mois pour se soigner. Ainsi, le fluide des vésicules est un sérum qui s’assemble entre les cellules de la peau enflammée. Il est important de souligner que le fluide qui en sort n’est pas de la sueur.
Les causes de la dyshidrose
D’une manière générale, les causes de cette pathologie sont inconnues, mais elles sont, pour la plupart du temps, liées à une transpiration exagérée durant les périodes de stress, d’anxiété et/ou de frustration. Dans certains cas, la dyshidrose ne se manifeste qu’entre l’automne et le milieu du printemps ou suite à une exposition prolongée au soleil. Cependant, garder la peau humide pourrait être un facteur qui déclencherait ou qui aggraverait la dyshidrose. C’est pourquoi il est toujours préférable de porter des accessoires à fibres naturelles comme les chaussures, les chaussettes ou les gants, afin que la peau puisse bien respirer. L’une des causes pourrait être un effet secondaire de problèmes intestinaux. Dans certains cas, des patients confirment que des régimes soulagent les symptômes. Des infections mycosiques en seraient la cause, car la maladie se caractérise telle une dermatophytose et de laquelle il faut rechercher le foyer mycosique. En effet, la pathologie est reliée à l’atopie ou aux allergies aux métaux comme le chrome, le cobalt ou le nickel. La dyshidrose pourrait être liée à une allergie alimentaire.
Les remèdes homéopathie et la dyshidrose
La dyshidrose est une forme d’eczéma qui se manifeste par des vésicules. En effet, l’homéopathie présente des traitements efficaces pour soulager les symptômes de la pathologie. Ainsi, il existe deux traitements selon le stade de la maladie. Pour le stade vésiculeux et érythémateux, les remèdes homéopathiques utiles sont Rhus Toxicodendron 4 à 5 CH, Apis Melifica 5 CH et Mezereum 4 à 5 CH à raison de 4 à 5 prises par jour. Dans le cas d’un stade suintant, il est recommandé de prendre Antimonium Crudum 5 à 9 CH, Graphite 9 à 15 CH ou Petroleum 5 à 9 CH selon la posologie du médecin homéopathe.