L’avortement est un acte selon lequel la grossesse est interrompue bien avant que processus de gestation arrive à son terme. On appelle également interruption de grossesse ou avortement l’acte d’arrêter ou de cesser la grossesse tout en la provoquant ou en partant de causes naturelles. Dans certaines cultures, l’avortement est synonyme de crime. Dans tous les cas, on parle d’avortement pour toutes les espèces vivipares. Il convient de noter que l’avortement peut être spontané, et dans ce cas précis, on fait référence à une fausse couche. Si un tel incident survient durant les 12 premières semaines, on parle alors d’une fausse couche précoce. Après cet intervalle, l’on parle de fausse couche tardive. Dépassant les 22 semaines, l’on se réfère ainsi à un accouchement prématuré. La grossesse peut également être interrompue volontairement, sans raison médicale. Il est alors question d’interruption volontaire de grossesse. Des raisons médicales pourraient interrompre la grossesse. Il s’agit donc d’une interruption médicale ou thérapeutique de grossesse ou IMG.
Les risques de l’avortement et les séquelles physiques
Subir un avortement c’est faire face à d’éventuels risques physiques et même psychologiques. Nombreuses sont les séquelles physiques de l’avortement. Elles sont méconnues du fait que le sujet demeure une question délicate tant pour le gouvernement que pour la population. Dans cette optique, il est prouvé scientifiquement que l’avortement renforce les risques de stérilité d’environ 10% chez la gent féminine. Cependant, le cas de décès suite à des avortements légaux ou illégaux est faible. A n’importe quel stade de développement de l’enfant, une femme détient deux fois plus de chance de perdre la vie suite à un avortement légal qu’au moment d’un accouchement normal.
En effet, dans plus de 5% des cas, l’interruption volontaire de grossesse présente des complications telles que les infections généralisées ou locales ainsi que de la rétention. La rétention survient lorsque le corps de l’embryon n’est pas évacué entièrement de la cavité utérine. Effectivement, la femme peut souffrir de déchirure du col de la matrice, de perforation utérine ou pire encore d’hémorragies. En outre, il existe de nombreux risques pour les grossesses ultérieures comme la forte augmentation des risques de fausse-couche et de naissances prématurées ou le double du taux de grossesses extra-utérines. Chez les femmes ayant consenti 2 à 3 interruptions volontaires de grossesse, cette proportion s’avère être doublée. Ainsi, le recours itératif fait partie de l’une des complications médicales liées à l’avortement et que les médecins en déduisent une très forte probabilité qu’une femme ayant fait son premier avortement recommencerait une ou plusieurs fois.
Éviter l’avortement avec l’homéopathie
En tant que médecine holistique, l’homéopathie propose des remèdes utiles pour prévenir de l’avortement. Dans le cas où il se passe une menace d’avortement, il est conseillé de consulter un médecin homéopathe pour vous prendre en main et pour le remède adéquat. L’homéopathie présente des remèdes contre l’avortement comme Sabina : pour une menace d’avortement avec douleur caractéristique et métrorragie et aggravation de cette dernière par le moindre mouvement et par la chaleur. Cinnamomum : rapidité des règles, longues et abondantes, du sang rouge vif et sensation de pression vers le bas suivi de petites hémorragies de la période puerpérale et de la grossesse et où le moindre effort parait être un faux pas. Toxoplama gondii : pour les tendances à l’avortement, plus particulièrement dans le premier trimestre de façon répétée et spontanée. Secale cornutum : pour les menaces d’avortement au 3e mois vers le 5e et 6e mois de gestation avec douleur prolongée vers le bas et persistance de saignements noir liquide avec caillots et intolérance avec la chaleur et être couvert. Et caulophylium : c’est la prévention par excellence des troubles mentionnés à l’accouchement, mais également aux naissances prématurées.