Anagallis Arvenis est une plante homéopathique pour le traitement dermatologique.
Par définition, l’Anagallis Arvensis ou Mouron est une plante annuelle de la famille des Primulaceae (famille de plantes dicotylédones). C’est une plante rampante qui pousse dans les cultures, les jardins. Les fruits de l’Anagallis Arvensis sont des pyxides produisant de nombreuses graines.
Ce type de plante est classé comme une mauvaise herbe dans le jardin et la plupart des jardiniers l’éliminent sans connaître, que l’Anagallis arvensis est une plante médicinale. Dans le monde de l’homéopathie, elle est utilisée dans la fabrication des remèdes naturels contre plusieurs types de maladies dermatologiques. Quelle que soit la forme adoptée à ce genre de médicament, son effet reste toujours rapide et efficace. Lire la suite …
Antimonium tartaricum, médicament homéopathique provenant de l’acide de sodium.
Les tartares doubles d’antimoine et de potasse sont les substances de base du médicament homéopathique Antimonium tartaricum. Ces substances sont aussi connues sous le nom d’émétique, elles constituent le plus important des d’antimoine.
Dans le monde de l’homéopathie, l’antimonium tartaricum est employé dans le traitement des infections des voies respiratoires accompagnées par des ronflements. Ces ronflements sont dus à la présence des mucosités dans les bronches et les poumons. Ce remède est aussi appliqué dans les autres maladies comme : toux gras, vomissements, migraines, asthmes, varicelle et fatigue générale. Lire la suite …
La fissure anale est une affection bénigne de la marge anale. C’est une affection courante qui touche particulièrement les femmes d’âge jeune. Elle survient après une érosion des plis au niveau de l’anus. Cette érosion peut être due par un cas d’abcès anal, une maladie inflammatoire du côlon, une tumeur ou sans une raison précise. Cette affection est délicate à soigner, car sa guérison est sans cesse retardée par le passage des celles.
Dans la majorité des cas, la fissure anale est postérieure. Mais il peut aussi se produire une fissure anale antérieure chez les femmes en période post-natale. Une fissure latérale peut être due par une pathologie inflammatoire. Les premiers signes d’une fissure anale peuvent être des douleurs intenses lors de l’exonération des selles, mais elles disparaissent après une quinzaine de minutes. Une ulcération superficielle en forme de raquette peut être aussi observée au niveau des plis radiaires de la muqueuse. Des rectorragies ou anorragies d’essuyages sont aussi des signes d’une fissuration anale. Dès que ces signes sont visibles, il faut tout de suite se faire examiner par un médecin, pour permettre une cicatrisation en phase aiguë. Un médecin traitant pourra effectuer sans problème un diagnostic de la fissure anale. Mais dans le cas où la fissure est compliquée, il faut avoir un avis d’un proctologue. Un diagnostic tardif peut provoquer une fissure anale infectée. Lire la suite …
La gastro-entérite est une infection inflammatoire qui touche le système digestif. Elle peut entraîner de la nausée, des vomissements, des crampes abdominales, des flatulences. D’autres symptômes comme la déshydrations, la fièvre, des maux de tête peuvent aussi survenir. Les symptômes varient d’une personne à une autre. Les symptômes de la gastro-enterite proviennent aussi des parasites internes, protozoaires ou amibes pathogènes. Ces protozoaires peuvent être de l’Entamoeba histolytica qui provoque la dysenterie amibienne ou amibiase due à l’absence ou l’inadéquation des installations sanitaires. Une dysenterie des voyageurs peut aussi être la conséquence d’une gastro-entérite. Cette dernière peut-être due à une infection bactérienne. Si la diarrhée dure un certain temps, des séquelles sur la paroi intestinale peuvent se présenter entraînant une pathologie nommée syndrome de malabsorption.
La gastro-entérite est un important problème de santé publique. Chaque année, l’épidémie de gastro-entérite à rotavirus s’associe souvent avec les épidémies de bronchiolite et de grippe. De plus, la gastro-entérite virale est plus fréquente pendant l’hiver. Ces épidémies mettent en difficulté les systèmes de soins pédiatriques. Les jeunes enfants et les nourrissons, les personnes âgées ainsi que les personnes ayant un système immunitaire affaibli par une maladie sont les plus touchées par la maladie. Lire la suite …
En côtoyant certains endroits, l’homme est souvent confronté aux piqûres de parasites et d’insectes. Ces bestioles attaquent l’être humain pour se défendre et pour se nourrir. Ils sont nombreux, mais les plus fréquents sont les taons, les aoûtats, les moustiques, les guêpes, les abeilles, les tiques, les puces, les acariens, et les poux. Dans la majorité des cas, leur piqûre se manifeste par des démangeaisons qui apparaissent suite au grattage. En présence de virus, de champignons, et de bactéries, ces démangeaisons peuvent s’infecter. Dans certaines postures, la manifestation de ces piqûres se traduit par des faibles douleurs qui sont inoffensives si l’individu n’est pas anaphylactique. Contrairement à cela, si le sujet est sensible ou a eu des effets face à ce genre de morsure, il est plausible que des complications affluent. A ce moment-là, il est préférable de prendre urgemment les dispositions nécessaires.
D’une manière générale, les premières actions à effectuer lorsqu’on vient d’être piqué par un insecte seraient de laver la partie mordue avec de l’eau et du savon neutre. Il faut bien rincer pour enlever tout excédent et trace de savon. Essuyez doucement pour que cette zone se sèche. Appliquer doucement un produit ou une solution antiseptique pour la peau. Terminer par enduire légèrement une crème spéciale contre les démangeaisons. Il arrive que la bestiole ait laissé son dard dans la chaire. Il faut l’ôter délicatement avec une pince à épiler pour que ce dernier ne s’enfonce pas encore plus. Puis poursuivre avec une désinfection avec de l’alcool à 70°. Si telle est la façon généralisée de les prendre en main, des petites nuances se rencontrent selon le genre d’hexapode qui a mordu l’individu. Lire la suite …
La gingivorragie est une hémorragie bénigne et passagère qui survient au niveau de la gencive. La gingivorragie est aussi appelée hémorragie gingivale. Cette hémorragie est souvent en rapport avec la gingivite. Elle apparait généralement au cours ou après le brossage dentaire. Mais elle peut aussi survenir suite à un traitement médicamenteux, une fièvre hémorragique, un syndrome d’hémorragie, une leucémie. C’est un signe de fragilité des muqueuses gingivales à traiter rapidement pour éviter qu’il entraîne une gingivite ou un début de déchaussement dentaire. À l’heure actuelle, des remèdes homéopathiques peuvent contrer l’inflammation. Mais si l’hémorragie persiste, il faut consulter tout de même un médecin spécialiste. Lire la suite …
Pityriasis versicolor est une dermatose classique qui atteint bon nombre de personnes. Il s’agit d’une affection bénigne causée essentiellement par la prolifération d’un germe externe. Ce germe correspond à un champignon de la famille des Malassezia qui est connu ordinairement par l’appellation levure saprophyte. C’est une infection banale qui touche les femmes aussi bien que les hommes et les enfants. Il est important chez les gens dont la qualité de l’épiderme est séborrhéique (ou grasse), comme les jeunes adultes et les adolescents. Il a été constaté qu’il s’agit de la maladie de la peausserie la plus fréquente avec 90% d’individus contractés. Au fur et à mesure que la personne prend de l’âge, le risque de contamination diminue progressivement. En effet, en vieillissant, le vélin devient plus sec. Lire la suite …
La parodontite correspond à un problème inflammatoire, d’origine bactérienne, touchant le parodonte, les tissus qui sustentent les dents. D’origine bactérienne, elle se traduit par une perte progressive de l’os alvéolaire et la formation de poche entre la gencive et les dents. En absence des traitements appropriés, l’affection entraine la perte prématurée des dents. Bien qu’elle ne provoque aucune douleur, la Parodontite ne doit pas être prise à la légère puisqu’elle ne correspond pas seulement la cause capitale des pertes de dents, au surplus elle a pareillement des conséquences néfastes ailleurs que dans la mâchoire. Ce trouble se rencontre aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Lire la suite …
Jusqu’à l’âge de 5 ans, il arrive que les enfants fassent des crises de convulsion appelées spasmes du sanglot. Cette crise apparaît le plus souvent suite à une douleur intense, à une émotion vive ou à excès de colère. L’intensité de ces crises varie selon les enfants, mais peut devenir extrême. Au final, il arrive que l’enfant ait une pâmoison accompagnée de perte de connaissance. Il s’agit d’un trouble de comportement qui inquiète les parents et l’entourage. Pourtant, le spasme du sanglot est généralement bénin et ne représente pas un cas grave. Il correspond à la manifestation de syncope qui survient à un enfant allant de cinq mois à trois ans. D’une manière généralisée, 5% environ des enfants manifestent un spasme du sanglot au cours de leur vie.
Lorsque l’enfant pleure, entre ses sanglots, il a une respiration bruyante. Son teint devient cyanosé et pâle et il finit par perdre connaissance. Avant de perdre connaissance, le petit a un arrêt respiratoire.
Il faut savoir que le spasme du sanglot est différent de l’épilepsie.
Les parents, parfois angoissés, ont tendance à laisser l’enfant pleurer, pourtant c’est ce qu’il faut éviter.
Le syndrome méningé est une inflammation des méninges. Elle est généralement due à une hémorragie intracrânienne ou à une infection virale ou bactérienne. La partie de la méninge touchée par ce syndrome correspond à la dure-mère ou à l’arachnoïde.
Présentation clinique du syndrome méningé
Les principaux symptômes du syndrome méningé sont au nombre de trois. Ils sont appelés par trépied méningitique ou triade méningée. Ces trois signes avant-coureurs sont les céphalées intenses, la raideur au niveau de la nuque et les vomissements en jet. Les céphalées sont très intenses, et à la fois pulsatiles. Le patient fait l’objet d’une photophobie et devient exacerbé face à la lumière. L’intensité des céphalées s’accroît lorsque le malade bouge sa tête et lorsqu’il entend du bruit qu’il n’arrive pas à supporter. Il est très irritable.
La douleur au niveau de la nuque est associée à une douleur. Elle correspond aux signes de manifestation de la contracture réflexe dont les muscles spinaux font l’objet. Cette raideur constitue en quelque sorte la forme secondaire de l’irritation de la dure-mère.
En plus de la raideur, le malade peut avoir de la fièvre accompagnée de frisson. Les patients atteints du syndrome de Grisel présentent également ce genre de raideur. Il faut alors que tous les signes soient présents pour affirmer qu’il s’agisse bien d’un syndrome méningé.
Les vomissements se font à grand jet sans que la personne n’ait eu une quelconque nausée.