En Amérique, l’homéopathie se trouve maintenant sur la rampe médicale des espérances de guérison ou de traitement sans effet secondaires. Ceci a été suscité par la récente vague d’inquiétude qui a surgi à cause des effets négatifs de certains médicaments dits conventionnels. Les médicaments pharmaceutiques tels que les médicaments contre le rhume et la grippe sont retirés du marché pendant que les médicaments traitant le cholestérol ainsi que les remèdes anti-dépression sont remis en question.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens comme le Vioxx et le Celebrex engendrent des effets secondaires qui peuvent être dangereux pour la survie même du patient. Une nouvelle étude diffusée dans le New England Journal of Medicine (janvier, 2008) soulève de sérieuses questions au sujet de la crédibilité des études entreprises par des compagnies pharmaceutiques. Par exemple, cette étude dévoile que ces compagnies ont négligé de révéler le nombre élevé d’études à tendance négative sur les antidépresseurs qui sont leurs objets de vente principaux. La FDA (organisation contrôlant les médicaments mis sur le marché américain) a émis une interdiction catégorique contre la vente sans prescription (dite au dessus du comptoir) des médicaments contre le rhume et la grippe pour les tout-petits et les nourrissons. De plus le médicament contre le cholestérol, le Vytorin a été jugé potentiellement à risque pour la santé. Ces troubles ont amené les Américains à envisager des alternatives plus saines et fiables.
La médecine homéopathique fut découverte deux siècles auparavant. Depuis ce temps, il a été une bouée de sauvetage dans de multiples épidémies considérées comme les plus mortelles des deux derniers siècles, tout en prouvant être une bonne option pour les patients souffrant d’une grande variété d’affections chroniques. Un tel succès – surtout une réussite de telle envergure alors que la médecine conventionnelle a échoué – demande certainement une meilleure compréhension de ce que l’homéopathie implique.
L’homéopathie est fondée sur une des lois basiques de la nature et elle repose sur une idée qui remonte à Hippocrate – à savoir que des substances capables de répliquer les symptômes d’une maladie peuvent guérir ces mêmes symptômes lorsque ces substances sont administrées aux patients. Les médicaments utilisés en homéopathie sont constitués à partir de plantes, de matières animales et minérales. Ils sont d’une douceur extrême, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas de dosages puissants, et peuvent être utilisés en toute quiétude par les jeunes comme par les vieux. Les médicaments homéopathiques sont réglementés par la FDA comme des médicaments de classe 2 (en se basant sur leur classement général des médicaments). De plus, ces remèdes ont une fiche de sécurité exceptionnelle que ce soit en termes de leur contenu et de leur prise.
Quand l’homéopathie fit son entrée en Amérique (émanant de l’Europe où elle était déjà en utilisation), elle a été peu remarquée jusqu’à ce que les grandes épidémies mortelles des années 1800 se déclarent. Les résultats obtenus par l’homéopathie au cours de ces épidémies révèlent une constance significative: à savoir, un taux de mortalité très faible par rapport à la médecine utilisée pour guérir ces épidémies ainsi que celle de l’époque contemporaine pratiquée dès lors. Cette constance, en terme de guérison sûre et efficace, persista et demeura quel que soit le médecin pratiquant, l’établissement médical, le temps, le lieu ou le type d’épidémie. Parmi les succès de l’homéopathie sont compris les maladies portant un taux de mortalité très élevé, telles que la variole, le choléra, la diphtérie, la pneumonie, la fièvre typhoïde et la fièvre jaune.
Vu l’extrême efficacité de l’homéopathie en Amérique il est donc surprenant de noter que l’homéopathie ne figure presque pas dans la filière principale du système de soins de santé américain.
L’énorme succès qu’acquit l’homéopathie dans ses premières années se heurta contre quelques puissants adversaires. Au cours des grandes épidémies des années 1800, l’homéopathie a si bien réussi et est devenue si populaire que les pratiques classiques ont commencé à souffrir, accusant une baisse significative de clientèle c’est-à-dire le nombre de patients se penchant vers la médecine allopathique, et conséquemment leurs moyens de subsistance. L’American Medical Association fut, en partie, mise en place comme un essai pour freiner la montée fulgurante de l’homéopathie en Amérique. Les médecins conventionnels, dépassant en nombre leurs homologues homéopathiques de beaucoup, se sont organisés et débrouillés à faire de sorte qu’il devienne extrêmement difficile pour que les homéopathes puissent pratiquer. Face à de tels obstacles de la part de la confrérie médicale, l’homéopathie disparut de la plateforme médicale et de l’œil des américains. L’Amérique moderne maintient encore ses vieux préjugés. Les médecins conventionnels et leurs partenaires pharmaceutiques bien qu’ayant une connaissance superflue de l’homéopathie sont prompts et catégoriques dans leur rejet de l’homéopathie qui est étiquetée comme médecine sans validité ou qui est irréalisable: «Les médicaments sont trop dilués et il n’y a aucune étude entreprise à propos de l’homéopathie » affirment-ils.
Ces propos, rendus obliques par le manque d’information et surtout de la dé-inclination de savoir plus sur l’homéopathie avant de la condamner, méritent quand même une réplique. La recherche dite Nouvelle ou Contemporaine émergeant des laboratoires reconnus comme Le Material Science Laboratory de l’Université de l’État de Pennsylvanie entre autres, ont découvert aujourd’hui que les médicaments homéopathiques ont en fait des structures et des propriétés uniques. Cette structure détermine le plus souvent la composition et les propriétés des substances curatives de l’homéopathie. Compte tenu de ces nouvelles découvertes, l’affirmation selon laquelle l’homéopathie est irréalisable peut être complètement rejetée.
Ainsi, mesurer l’efficacité de l’homéopathie en se basant sur les critères de la médecine classique donne normalement une mesure négative tandis qu’en mesurant l’homéopathie en utilisant une mesure plus adaptée, révèle son rendement. De plus, en mesurant l’efficience de l’homéopathie et celle de la médecine conventionnelle le taux de réussite de l’homéopathie sur les mêmes maladies (les épidémies mentionnées plus haut) prouve que l’homéopathie gagne certainement vis-à-vis de la médecine traditionnelle.
Un grand nombre d’études précliniques et cliniques publiées dans des revues médicales estimées telles que Rheumatology, Annals of Internal Medicine, Pediatrics, The International Journal of Neuroscience et d’autres, signalent les effets écologiques des thérapeutiques homéopathiques. Qui plus est, plusieurs études (basées strictement sur l’observation comme méthode de recherche) publiées sur des milliers de patients à travers le monde sont très positives pour le traitement homéopathique, dans la pratique clinique réelle mondialement. Statistiquement parlant, dix millions de patients en Europe et en Asie sont traités régulièrement avec l’homéopathie. Pour les parents qui cherchent des options alternatives sûres et fiables pour soigner les rhumes, la grippe et les allergies (vu l’interdiction émise sur ces produits par la FDA), l’homéopathie est un remède qui convient admirablement. Pour les adultes atteints de toux, de maux de gorge, des nausées, de diarrhée, de fièvre, des frissons et de toutes les autres formes de maladie aiguë et ainsi que pour ceux souffrant de maladies chroniques de toutes les dimensions, l’homéopathie se trouve une fois de plus être un bon choix. De plus, pour les premiers soins en cas d’urgence simple, l’homéopathie est indispensable.
Évaluant les preuves indéniables présentées, il existe peu de doute quant au fonctionnement véritable de l’homéopathie. L’homéopathie est peu coûteuse et accessible à tous. Les maux simples peuvent être auto traités requérant toutefois un peu d’entrainement dans la pratique homéopathique. Concernant les maladies difficiles, il est perpétuellement recommandé de consulter un homéopathe qualifié c’est-à-dire quelqu’un qui a une formation approfondie dans le domaine. Même si elle retient le titre de médecine alternative, il est clair que la médecine homéopathie se forge une route solide à travers l’univers médical.